Hier on pouvait lire dans Le journal du Net que Facebook et Twitter ne génèrent que 1,7 % de l'audience des sites média (http://pear.ly/e6PfW) selon l'étude AT Internet.
En parallèle, ma mère me demande souvent quel est mon travail et en particulier pourquoi je suis souvent devant un écran. Mon travail étant de faire du conseil en commmunication institutionnelle, de crise et d'influence, donc il faut faire de la veille.
Or aujourd'hui la veille est très très souvent numérique et au delà des médias et sites classiques, les sources passent souvent par ces deux supports.
Le question du - qui fait l'opinion et où ?- se pose au quotidien et la réponse n'est pas absolue mais les tendances sont lourdes. Les journaux et même les agences de presse existent encore mais ont un poids de plus en plus ténu.
Car ce que les gens veulent aujourd'hui, c'est avoir l'information brute, le plus rapidement possible et l'interprêter eux-mêmes, sans filtres, sans analyse. Cela a bien entendu des limites mais c'est une réalité.
En parallèle, les journalistes "classiques" courent pour ne pas être laissés de côté. Ils courent mais sans moyens, sans baskets quoi... Du coup, on les trouve sur la place du "signal faible" qui peut devenir très fort en quelques minutes et sur toute la planète, c'est Twitter. Et pour que l'on lise leurs analysent ailleurs, les journalistes d'aujourd'hui doivent se montrer ici.
L'entreprise, elle, découvre avec plus ou moins de succès les réseaux sociaux et comme le message en 140 signes est trop contraignant, elle agit sur Facebook pour animer des groupes de fans et les rendre relais de la marque.
Avec leur audience si faible au total, ces outils encore actuels réunissent ceux qui font les modes et les sujets de conversations d'où leur forte influence.
Et de quoi sera fait demain ? Et bien veillons pour le savoir et être aussitôt au bon endroit et ainsi continuer de travailler efficacement.
jeudi 5 mai 2011
L'influence des réseaux sociaux expliquée à ma mère !
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