lundi 22 février 2010

Communication d'influence contenant ou contenu du lobbying ?

De plus en plus fréquemment la question se pose ou du moins on me pose cette question.
La réponse de la communicante est que le lobbying est l'un de outils de l'influence. Il est tourné vers le politique et a pour objectif d'influencer la gestion publique ou la loi dans l'esprit ou la forme.
La communication d'influence vise des évolutions sociales, sociétales voire de mode de consommation et l'accélération de la prise en compte par les autorités de ces changements.
Ainsi, dans un cadre éthique clairement indispensable, l'objectif peut être un changement de comportement qui ne demande absolument pas à être légiféré ou réglementé mais pris en compte par la société.
D'une certaine façon, les mouvements de mode en font partie et une vision large prenant en compte fortement internet est un atout dans l'élaboration de stratégies d'influence.
Il est loin le temps ou l'influence était un domaine réservé. Son champ n'est pas figé et le fantastique observatoire qu'offre la toile demande une réelle technicité pour être une vigie efficace.
Il existe de plus en plus d'offres spécifiques dans le domaine de la veille digitale, avec des options techniques très pointues mais souvent sans suivi stratégique adapté à l'appui.
Les prix grimpent vite alors il faut savoir précisément ce dont on a besoin au départ pour trouver la formule réellement adaptée.
C'est encore un peu la jungle mais le marché se régule car les clients appréhendent de mieux en mieux la question. Attention tout de même à choisir des indicateurs pertinents .
Bonne chance à tous ceux qui se lancent !

jeudi 4 février 2010

Samuel Oudin se fait plaisir

Je dois dire que rares sont les éditos qui inspirent un sourire complice ces derniers temps. Du poil à gratter et quelques phrases bien lâchées, j'ai apprécié celui qui ouvre le numéro 5 du magazine Com et Médias.
Son titre racoleur n'est pas ce qu'il y a de meilleur : Sexe, culture, développement durable mais le contenu est intéressant. Il propose l'idée que l'on ferait trop de com et pas assez de fond sur le développement durable, aussi dénommé éco-développement. Et que le green-washing ferait la loi en marketing. L'ARPP (association de régulation professionnelle de la publicité) en arrive même à afficher l'objectif de "maîtriser les abus de discours écologiques".
Après être sortis quelque peu groggy du Sommet de Copenhague, nous devrions maintenant regarder de plus prêt ce que l'on fait chez nous ? Bravo, allons y ! Cela fera primer le fond sur la forme et redonnera de la valeur à ceux qui agissent, réellement et discrètement, dans le sens d'un développement responsable de nos sociétés.
"Faut pas pousser tata Mauricette dans les orties !" comme le dirait Samuel.

A retrouver sur www.marketeam.fr