Le bruit court... J'ai entendu dire... Il parait que...
Si la rumeur existe depuis toujours et a été largement étudiée, est-ce que sa nature évolue avec le contexte des nouvelles technologies ?
Non, car la densification du nombre de messages, d'informations échangées et donc de rumeurs est en constante augmentation. Du coup, les rumeurs deviennent brumeur -ou de fines gouttelettes d'eau en suspension au milieu de mouvements venteux changeants. Leur impact n'est pas plus grand car si l'information est plus accessible sa durée de vie est plus courte et elle est noyée parmi un nombre exponentiels de messages émis.
La brumeur existe dans le contexte socio-politique actuel du fait d'un remaniement qui se fait attendre sur fond de refus de la réforme des retraites. Chaque semaine apporte son lot de "ouïe dire" qui finit par se fondre dans un environnement politique de plus en plus cotonneux.
L'intérêt de la brume, c'est qu'elle hydrate en douceur mais aussi qu'elle disparait pour laisser la place au soleil... ou au vent.
Je choisirais bien le soleil, non ? Et vite !
lundi 11 octobre 2010
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