lundi 25 octobre 2010

Humeur...

Le principe du blog est de donner son analyse, son état d'esprit le plus souvent critique ou très positif, constructif.
Pour une fois, mon humeur sera autre. Le contexte est porteur...
Avec les grêves, le contexte de crise économique mais aussi politique, il me semble qu'il faut passer à autre chose. D'autres moteurs sociaux, d'autres interactions -bien au delà de notre petit pays- voilà ce qui serait nécessaire.
Chacun à notre niveau nous pouvons agir que dis-je, nous devons agir. L'initiative individuelle, la responsabilité personnelle permettent de changer les choses.
Problème actuel : où se trouve l'innovation sociale, sociétale ? La voix des penseurs ne se fait plus entendre et c'est bien dommage car elle nous permettrait à tous de réfléchir.
L'actualité et l'information ne sont que des bribes descriptives de l'état de nos sociétés et nous avons besoin plus que jamais de fond. Sans doute, le mode de transmission de la pensée sociale, politique doit être mise au goût du jour pour atteindre un public plus large. Les nouvelles technologies pourraient être utiles... avec plus de 140 caractères sans doute !

lundi 11 octobre 2010

La brumeur...

Le bruit court... J'ai entendu dire... Il parait que...
Si la rumeur existe depuis toujours et a été largement étudiée, est-ce que sa nature évolue avec le contexte des nouvelles technologies ?
Non, car la densification du nombre de messages, d'informations échangées et donc de rumeurs est en constante augmentation. Du coup, les rumeurs deviennent brumeur -ou de fines gouttelettes d'eau en suspension au milieu de mouvements venteux changeants. Leur impact n'est pas plus grand car si l'information est plus accessible sa durée de vie est plus courte et elle est noyée parmi un nombre exponentiels de messages émis.

La brumeur existe dans le contexte socio-politique actuel du fait d'un remaniement qui se fait attendre sur fond de refus de la réforme des retraites. Chaque semaine apporte son lot de "ouïe dire" qui finit par se fondre dans un environnement politique de plus en plus cotonneux.
L'intérêt de la brume, c'est qu'elle hydrate en douceur mais aussi qu'elle disparait pour laisser la place au soleil... ou au vent.
Je choisirais bien le soleil, non ? Et vite !